Contexte scientifique
Contexte scientifique
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An Evaluation of Crisis Hotline Outcomes Part 2: Suicidal Callers
Madelyn S. Gould, PhD, MPH, John Kalafat, PhD, Jimmie Lou Harris Munfakh, BA, and Marjorie Kleinman, MS
Predicting suicidal ideation by interpersonal variables, hopelessness and depression in real-time. An ecological momentary assessment study in psychiatric inpatients with depression
N. Hallensleben, H. Glaesmer, T. Forkmann, D. Rath, M. Strauss, A. Kersting, L. Spangenberg
Telephone Counselling for Adolescent Suicide Prevention: Changes in Suicidality and Mental State from Beginning to End of a Counselling Session
Robert King, PhD, Barry Nurcombe, MD, Leonard Bickman, PhD, Leanne Hides, and Wendy Reid
Longitudinal Development of Reasons for Living and Dying With Suicide Attempters: A 2-Year Follow-Up Study
Gysin-Maillart, A. C., Jansen, R., Walther, S., Jobes, D. A., Brodbeck, J., & Marmet, S.
Pilot RCT of the Attempted Suicide Short Intervention Program (ASSIP) adapted for rapid delivery during hospitalization to adult suicide attempt patients with substance use problems
Conner, K. R., Kearns, J. C., Esposito, E. C., Pizzarello, E., Wiegand, T. J., Britton, P. C., Michel, K., Gysin-Maillart, A., & Goldston, D. B.
Psychopharmacological treatment is not associated with reduced suicide ideation and reattempts in an observational follow-up study of suicide attempters
Michel, K., Gysin-Maillart, A., Breit, S., Walther, S., & Pavlidou, A.
Attempted suicide short intervention program influences coping among patients with a history of attempted suicide
Gysin-Maillart, A., Soravia, L., & Schwab, S.
Patients’ Satisfaction With the Therapeutic Relationship and Therapeutic Outcome Is Related to Suicidal Ideation in the Attempted Suicide Short Intervention Program (ASSIP)
Ring, M., & Gysin-Maillart, A.
The Association between Therapeutic Alliance and Individuals’ Wish to Die or Live
Ring, M., Walther, S., & Gysin-Maillart, A. C.
Cost-effectiveness of a Brief Structured Intervention Program Aimed at Preventing Repeat Suicide Attempts Among Those Who Previously Attempted Suicide: A Secondary Analysis of the ASSIP Randomized Clinical Trial
Park, A., Gysin-Maillart, A., Müller, T., Exadaktylos, A., Michel, K.
Reasons for Living and Dying in Suicide Attempters: A two-years prospective study
Brüdern, J, Stähli, A., Gysin-Maillart, A., Michel, K., Reisch, Th., Jobes, D. A., & Brodbeck, J.
A Novel Therapy for People Who Attempt Suicide and Why We Need New Models of Suicide. International Journal of Environmental Research and public health
Michel, K., Valach, L, & Gysin-Maillart, A.
Suicide Ideation Is Related to Therapeutic Alliance in a Brief Therapy for Attempted Suicide
Gysin-Maillart, A., Soravia, L. M., Gemperli, A., & Michel, K.
Are Suicide Attempters Wired Differently? A Comparison with Nonsuicidal Depressed Individuals Using Plan Analysis. Journal of Nervous & Mental Disease
Brüdern, J., Berger, T., Michel, K., Gysin-Maillart, A., Schmutz, I., & Caspar, F.
ASSIP – Thérapie brève après une tentative de suicide
Programme d’intervention brève en cas de tentative de suicide par Anja Gysin-Maillart 2e édition revue et corrigée 2021, 120 pages allemand
ASSIP – Attempted Suicide Short Intervention Program
A Manual for Clinicians de Konrad Michel, Anja Gysin-Maillart 2015, x/114 pages anglais
Intervention de crise et suicidalité
Apprentissage vidéo Beltz de Tobias Teismann, Anja Gysin-Maillart
- DVD 1 – Évaluation des risques et intervention en cas de crise
- DVD 2 – Thérapie après une tentative de suicide
Guide de formation
Projets en cours
Aperçu de tous les projets
Projet «ASSIP Home Treatment»
Pourquoi menons-nous ce projet de recherche ?
- L’ASSIP Home Treatment (ASSIP HT) est une thérapie brève à bas seuil destinée à soutenir les patients après une tentative de suicide. L’offre comprend trois à quatre séances et un contact épistolaire de 24 mois. Pour des raisons telles que la honte, la peur de la stigmatisation ou l’immobilité, les patients préfèrent être traités à domicile, dans leur environnement individuel. L’ASSIP en traitement à domicile répond à ce besoin et offre aux patients une intervention spécifique au suicide dans leur environnement domestique. Le traitement à domicile est proposé dans quatre centres de recrutement : 1) La Clinique Sanatorium Kilchberg à Zurich ; 2) La Clinique Psychiatrique Universitaire de Zurich (PUKZH) ; 3) Le Centre Hospitalier Universitaire Vaudois (CHUV) ; 4) Le Centre Neuchâtelois de Psychiatrie (CNP). Les effets de l’ASSIP HT sur les pensées et les comportements suicidaires ainsi que la faisabilité et le rapport coût-efficacité de l’ASSIP HT seront étudiés. Le projet ASSIP Home Treatment est financé par Promotion Santé Suisse.
Les objectifs du projet ASSIP HT
- Sensibilisation: dans le cadre de formations continues (p. ex. cercles de qualité, rapports, congrès, etc.), les organisations concernées doivent se familiariser avec l’ASSIP HT. Elles doivent être formées à l’évaluation et à la gestion des expériences et des comportements suicidaires.
- Application: L’ASSIP Home Treatment doit être ancré en tant qu’offre mobile dans les institutions et les cliniques. Les ressources personnelles et institutionnelles existantes doivent être utilisées et la collaboration interprofessionnelle doit être renforcée. Cela doit permettre de combler le fossé entre les soins ambulatoires et les soins hospitaliers.
- Mise en réseau: une collaboration étroite avec les services d’urgence, les spécialistes de la médecine générale, les services de soins ambulatoires et les institutions psychiatriques doit permettre de mieux atteindre les patients. L’ASSIP HT s’adresse aux personnes vulnérables et immobiles ainsi qu’à leurs proches.
- Réalisation: l’intervention est proposée par des psychothérapeutes formés dans l’environnement familial des patients. L’accent est mis sur la reconnaissance des signaux d’alarme et sur l’élaboration de stratégies alternatives en cas de crise suicidaire. Cela favorise l’autonomie et l’autogestion du patient et améliore sa qualité de vie.
Projet «NePsy ASSIP HT»
Recherche en (neuro)psychologie (projet 1)
Pourquoi menons-nous ce projet de recherche ?
- Dans ce projet de recherche, nous souhaitons étudier des domaines (neuro)psychologiques qui peuvent être d’une importance centrale dans le processus suicidaire.
- Cette étude partielle s’inscrit dans l’étude principale « NePsy ASSIP HT » et constitue la base de deux autres études.
- Objectif du projet : Notre objectif est d’étudier dans quelle mesure il est possible de distinguer des schémas (neuro)psychologiques chez des personnes suicidaires et non suicidaires. Pour ce faire, nous sollicitons des patientes et des patients qui, au moment du projet, sont traités à la Clinique universitaire de psychiatrie et de psychothérapie de Berne (UPD). Afin de garantir la comparabilité des groupes, un groupe de contrôle non clinique sera également recruté.
Informations générales
- Des études antérieures avaient déjà montré que la mesure des liens cognitifs inconscients permettait de distinguer les personnes ayant des pensées et des comportements suicidaires de celles qui n’en avaient pas. Sur la base de ces résultats précédents, la présente étude s’intéresse à des personnes issues de milieux différents: 1) Personnes ayant fait une tentative de suicide dans leur histoire personnelle 2) Personnes qui ont des idées suicidaires et qui n’ont pas de tentative de suicide dans leur histoire personnelle 3) Personnes d’un groupe clinique, sans pensées suicidaires ni comportement suicidaire 4) Personnes d’un groupe de comparaison en bonne santé
- Au total, 291 participants à l’étude seront examinés. Cette étude est construite selon les lois en vigueur en Suisse. En outre, toutes les directives internationales reconnues sont respectées. La commission d’éthique compétente a examiné et approuvé l’étude.
- Vous trouverez également une description de cette étude sur le site ClinicalTrials.gov, un registre d’essais cliniques.
Recherche en (neuro)psychologie (projet 2)
Pourquoi menons-nous ce projet de recherche ?
- En Suisse, environ 1 000 personnes meurent chaque année d’un suicide et on estime qu’environ 33 000 personnes font une tentative de suicide chaque année. Dans ce contexte, la tentative de suicide est un facteur de risque majeur pour un suicide consommé. Il est donc indispensable de proposer aux personnes ayant fait une tentative de suicide un traitement efficace qui réduise le risque d’une nouvelle tentative de suicide ou d’un suicide consommé.
- Dans le projet de recherche 2, nous voulons étudier les mécanismes d’action de la thérapie brève ASSIP. Ces connaissances peuvent être utilisées au niveau national et international pour améliorer le travail clinique avec les personnes ayant fait une tentative de suicide et contribuer à prévenir les suicides mortels.
Informations générales
- Objectif : L’objectif du projet de recherche 2 est de déterminer l’influence de la thérapie brève ASSIP sur les schémas psychologiques et neuropsychologiques des personnes ayant fait une tentative de suicide, ainsi que les mécanismes thérapeutiques pertinents.
- Déroulement : Pour cette étude, des patients ayant un historique de tentative de suicide et traités à la Clinique universitaire de psychiatrie et de psychothérapie de Berne (UPD) au moment du projet seront sollicités. Les participants sont répartis au hasard dans deux groupes différents. L’un des groupes reçoit trois à quatre séances de l’intervention spécifique au suicide ASSIP en complément de son traitement habituel. L’autre groupe reçoit trois à quatre séances basées sur la norme de traitement en Suisse pour les personnes ayant fait une tentative de suicide, en plus de leur traitement habituel. Pour les besoins de l’étude scientifique, les participants seront également invités à trois autres rendez-vous, au cours desquels on leur demandera de remplir des questionnaires, de passer des tests neuropsychologiques et de réaliser un entretien clinique. De plus, entre les séances de traitement, les participants sont invités à remplir des questionnaires sur leur smartphone personnel.
- Ce projet de recherche est conforme aux lois en vigueur en Suisse. En outre, toutes les directives internationales reconnues sont respectées. La commission d’éthique compétente a examiné et approuvé l’étude.
- Vous êtes intéressé(e) par une participation ou vous souhaitez obtenir davantage d’informations sur le projet de recherche ? Nous nous réjouissons de votre prise de contact par e-mail à l’adresse suivante: stella.brogna@upd.ch ou par téléphone au : 031 621 88 92
Recherche en (neuro)psychologie (projet 3)
Pourquoi menons-nous ce projet de recherche ?
- Objectif du projet : étudier les effets de l’ASSIP HT sur les pensées et les comportements suicidaires, ainsi que la faisabilité et le rapport coût-efficacité pendant une période de suivi de 24 mois.
Informations générales
- La thérapie brève ASSIP réduit le risque d’autres actes suicidaires de près de 80%. Bien qu’il existe des interventions brèves et efficaces pour les personnes ayant fait une tentative de suicide, il n’existe à notre connaissance que peu de services de traitement à domicile spécifiques au suicide pour les personnes ayant fait une tentative de suicide.
- L’offre se compose de trois à quatre séances. Lors de la première séance, les patients racontent avec leurs propres mots l’histoire de leur tentative de suicide. Cette séance fait l’objet d’un enregistrement vidéo. Lors de la deuxième séance, l’enregistrement est visionné avec le/la thérapeute. L’objectif est de mieux comprendre le contexte des crises suicidaires et d’élaborer ensemble des stratégies individuelles pour prévenir d’autres crises. Lors de la troisième séance, le contexte, les objectifs thérapeutiques à long terme ainsi que les signes d’alerte et les stratégies sont élaborés en commun. Ceux-ci sont consignés par écrit dans un plan de crise personnel (leporello). A l’issue de la thérapie brève, les patients reçoivent des lettres de leur thérapeute pendant deux ans.
- Les patients des cantons de Berne, Zurich, Vaud et Neuchâtel sont pris en compte pour l’évaluation de l’ASSIP HT.
- La commission d’éthique compétente a examiné et approuvé l’évaluation. Vous trouverez également une description de l’évaluation sur le site Internet ClinicalTrials.gov, un registre d’essais cliniques.
Projets associés

Projet «Diffusion de la méthode ASSIP en Suisse Romande»
L’ASSIP est une méthode thérapeutique pour les personnes ayant fait une tentative de suicide, déjà pratiquée en Suisse alémanique et à l’étranger. Le projet vise à présent à mettre à disposition cette méthode pour les patients de Suisse romande.

Projet «AdoASSIP – Prévention des tentatives de suicide et des suicides chez les adolescents»
AdoASSIP est une intervention brève pour la prévention du suicide après des tentatives de suicide chez les jeunes. En complément de la thérapie existante, les adolescents ayant fait une tentative de suicide et leurs familles participent à un programme court de prévention des récidives de tentatives de suicide et de prévention du suicide.
En outre, AdoASSIP doit promouvoir la mise en réseau des acteurs ambulatoires et hospitaliers et assurer ainsi une approche proactive et intégrative des adolescents présentant des comportements suicidaires, en particulier après des interventions de crise en psychiatrie hospitalière et aiguë (p. ex. aux urgences).

Projet «SERO – Prévention du suicide: Organisé de manière uniforme au niveau régional»
Dans le but de réduire les suicides et les tentatives de suicide, la psychiatrie lucernoise a mis en place le projet SERO (Prévention du suicide organisée de manière uniforme au niveau régional) en collaboration avec Promotion Santé Suisse et d’autres organisations responsables. SERO s’adresse d’une part aux personnes concernées et à leurs proches afin d’encourager l’autogestion. D’autre part, il aide les professionnels à procéder à une évaluation clinique fiable du risque de suicide afin de pouvoir offrir une aide appropriée aux personnes concernées en cas d’urgence.
bag-blueprint.ch: Trouver et partager des projets de santé

Le site Internet comprend environ 200 projets dans les domaines des proches aidants, de la démence, de l’interprofessionnalité, des soins palliatifs et de la prévention du suicide.
L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) publie des projets de santé dans ces domaines spécialisés en provenance de Suisse. Les professionnels, les multiplicateurs et les personnes intéressées des secteurs de la santé, du social, de la formation et de l’administration y trouvent de l’inspiration et des idées à reproduire. D’autres exemples pratiques sont ajoutés en permanence.
Qualiccare: Offres de promotion à l’autogestion

L’aperçu ci-dessous offre une aide aux personnes concernées, à leurs proches, mais aussi aux professionnels pour trouver les offres correspondantes de promotion à l’autogestion.
Le répertoire est constitué des contributions saisies. Pour ce faire, il est possible de remplir le formulaire suivant et de l’envoyer à sekretariat@qualiccare.ch.
Publications
Beitrag vom März 2022
in Neurologie & Psychiatrie
Beitrag vom Januar 2022
im Newsletter 127 UPDate
Podcast vom 9. September 2021
« Suizidprävention in der Schweiz » von spectra
Beitrag vom August 2021
dans doc.be (le magazine de la Société des médecins du canton de Berne)
ASSIP Home Treatment
SGPP Jahreskongress,
26.-27.08.2021
Beitrag vom Juni 2021
Projekt SERO – Suizidprävention Einheitlich Regional Organisiert
Beitrag vom November 2020
Projektbeschreibung
ASSIP Home Treatment
Video Attempted Suicide Short Intervention Program (ASSIP)
von Office of Mental Health (2020)
Aktionsplan Suizidprävention (BAG) von 2016
in Kürze
Contributions vidéo
Faits et chiffres sur la suicidalité en Suisse
Behandlungs- und Therapiemethoden, um Menschen nach einem Suizidversuch professionell zu unterstützen
Die Therapiemethode ASSIP: Attempted Suicide Short Intervention Program
Archives des événements
PowerPoint slides du symposium sur la prévention du suicide à télécharger
Universitäre Psychiatrische Dienste Bern (UPD) | Neue Erkenntnisse in der Suizidprävention
Suizidprävention in der Projektförderung PGV
Dr. Franziska Widmer Howald, Gesundheitsförderung Schweiz
ASSIP und ASSIP Home Treatment
Dr. phil. Anja Gysin-Maillart und Prof. Dr. med. Sebastian Walther, UPD
500 trials in 40 years: what do they tell us about the effects of antidepressants
Prof. Dr. Georgia Salanti, Universität Bern